Un Monde Pleins des Cyniques
16 NOV 2012
Nothing good for the people ,for the nation comes from the fake news biased medias because of their unfairness and hypocrisy. Since the late 80s I already felt the bias and the hypocrisy of many journalists. Many yrs ago I wrote this ,though it is in French :
Un Monde Pleins des Cyniques
16 NOV 2012
Il se sont écoulées quasiment 54 années depuis 1959 quand un maître de la démagogie prenait le pouvoir à Cuba.Pendant toutes ces années ses fausses promesses, ses mensonges sans bornes envahissant et parvenaient a faire le monde croire que sa révolution était vrai et pour le peuple cubain.
Mais le cynisme ,l`hypocrisie des ses complices dans les mass medias ont fait en sorte que toutes ces mensonges, tousses crimes, abuses, violations de Droits Humains ne soient jamais publiés mais plutôt gardés en sourdine tels des complices qui croient plus aux bourreaux qu'aux victimes.
Mais encore plus d'un demi siècle plus tard la collusion ou la complicité persistent, elle très évident d`ailleurs et la majorité des journalistes de par le monde continue cette complicité inmoral et insensible que fait la`apologie d`une dictature sous laquelle des dizaines de milliers des individus ont été exécutés dans les années entre 1959 et 1970 et tous sans des vraies procès de Justice.
Beaucoup , la plupart étaient exécutés sommairement, sans même pas des procès. C`est des actes criminelles comme ceux la que nous reprochons aux mass medias, aux journalists en général ,
de ne pas reporter, de ne pas nous croire, tandis que ils croient plus aux bourreaux qu'aux victimes. A meme faire leur apologie.
Ils croient plus dans la propagande mensongère du regime des Castros qu'aux temoignage des victimes et les ex-prisonniers ou familles des exécutés.
L'inmoralite est encore plus crachant en face des ces membres de la Presse internationale quand des centaines des milliers des cubains quittent leur propre pays par n'importe quel moyens, dont les boat people cubains et meurent par des centaines a chaque années dans les mers autour de l' île de Cuba.
Ou encore ils ne voient pas ou bien ignorent le fait que avant 1959 à Cuba il n`y avaient pas des camps de travaux o concentration et des prisons dans un tel nombre que aujourd'hui .Elles ne dépassaient pas la vingtaine alors qu'aujourd'hui elles sont partout au pays plus de 260. Mais le cas ici ne c`est pas leur nombre,sinon les causes par lesquelles elles en sont remplies. La ou on peut voir plein les yeux les milliers des injustices, des violations des Droits de la Personnes et Humains.
Là ou ces journalistes ne se sont jamais ou presque données la peine d'investiguer et n'ont pas eu le courage ,ni le désire de investiguer,d'être justes envers les victimes et vraiment impartiaux ou sans bias d'aucun type.
En face des ces faits - ils , - tous les mass medias et ses membres, ne peuvent plus continuer a ignorer cet interminable drame ou tragédie du peuple cubain.
Alors que partout au Moyen Orient, loin de Cuba, même des groupes syriens se solidarisent avec les dissidents et opposants au régime des Castros, les journalistes de un peu partout persistent ou continuant a faire l'apologie, a défendre les mensonges du régime que dure plus d'un demi siècle et dont son bilan est plus que dérisoire, tragiquement miserable.
Et où nous voyons son Économie depends de l`aide financière et humanitaire après 54 années au pouvoir plutôt qu'avoir un pays prospère et independent .
Et tout cela malgré les 30 années de aide Soviétique a coups de milliards par année.
C`est l'heure de regarder vraiment en profondeur la vérité , les réalités cubaines, et de croire aux victimes et non pas aux bourreaux qu'ont fait sombrer a Cuba dans une telle misère, dont la répression fait -- a chaque jour -- des victimes et nous rappelle que nous sommes devant un sanglante tyrannie et non pas un régime pour le peuple.
C`est l`heure d'aller vers les témoins victimes de cette tyrannie,de croire et d'investiguer leurs accusations , leurs plaintes contre la mafia qui'a séquestré des biens et leur sovereignité et libertés.
16 NOV 2012
